« J’ai intégré une équipe dans laquelle je me suis senti accueilli les bras ouverts »
Matthias Verheyen, 34 ans, est ingénieur civil de formation. Il est néerlandophone et vient de Leuven où il a fait ses études. « Dès mes études secondaires et mes premiers cours de physique nucléaire, j’ai su que j’étais passionné par tout ce qui touchait à cette matière », confie-t-il. Après ses études, il postule chez Engie pour rejoindre le Nuclear Trainees Program Junior qui permet aux jeunes ingénieurs en fin d’études ou récemment diplômés de contribuer à la gestion opérationnelle de centrales nucléaires tout en combinant apprentissage théorique et expérience de terrain. « Très vite, j’ai compris que ce programme était fait pour moi car il permettait de faire la transition entre les études et le monde professionnel, tout en continuant à se former. J’ai travaillé sur quelques projets en Belgique et en France. Cela m’a permis de rencontrer d’autres jeunes et de me créer un réseau en interne de personnes avec d’autres origines et backgrounds. J’ai trouvé ça chouette ».
Engagé sur le site de Doel en 2012, il part travailler à Tihange, quelques mois plus tard. Habitant à Leuven, il a régulièrement fait les trajets pendant deux ans avant de déménager à Landen. « Pour les employés comme moi qui faisaient de longs trajets entre leur domicile et leur lieu de travail, l’entreprise avait mis à disposition une maison que nous pouvions partager à plusieurs. Je dois dire qu’ils ont vraiment été attentifs à notre bien-être durant cette période parfois compliquée au niveau des trajets ».
Opportunités de développement
Alors qu’à l’heure actuelle l’avenir du nucléaire est sur toutes les lèvres, Matthias prend toujours autant de plaisir à travailler dans ce domaine qui revient souvent au cœur de l’actualité et de l’attention, même s’il se prépare à l’idée d’aller, un jour, vers un autre secteur. « J’ai d’ailleurs eu mon entretien de carrière récemment où je les ai sentis très ouverts. De mon côté, je me sens très bien dans ma fonction qui est assurée jusqu’à fin 2025. J’ai, en tout cas, envie de terminer la période d’exploitation. Je n’ai pas encore trop réfléchi à l’après. J’ai donné mes préférences. Ce que je sais, c’est que j’ai envie de participer à l’arrêt et, pourquoi pas, d’aller sur Tihange 3. De nouveau, en termes de bien-être, on peut se dire que c’est loin dans 2 ans, mais l’entreprise organise déjà des entretiens pour voir ce qu’on aime ou pas. Les plus âgés ont des possibilités de flexibilité d’ici leur pension. Pour les autres il y a des opportunités de développement et un catalogue énorme de formations. Je sais que, quand j’en aurai besoin, je n’aurai qu’un mail à envoyer pour demander à m’inscrire à diverses formations », poursuit Matthias Verheyen qui se sent aussi très bien au sein de son équipe.
« Dans mon service opérationnel, on a vraiment une équipe de cadres très chaleureuse au sein de laquelle je me suis senti accueilli à bras ouverts. On s’entend très bien et il y a une très bonne collaboration personnelle. On se retrouve pour manger à midi, par exemple, mais avec l’idée de passer un moment agréable, pas de parler de nos dossiers. Tout est fait pour favoriser cette cohésion d’équipe. Nous avons une certaine flexibilité au niveau des horaires, si quelqu’un veut prend plus de temps à midi ou partir plus tôt, c’est possible ».
Le cadre de travail a d’ailleurs été revu en ce sens. « Il y a 5 ou 6 ans, tous les réfectoires ont été refaits pour être plus conviviaux avec, entre autres, des petits coins pour la relaxation, des distributeurs de sandwiches et de boissons, des plantes… Je me rappelle, l’an passé, nous avons eu une grosse année chargée pour la maintenance et l’entreprise nous a organisés un moment convivial, pour les équipes, autour de foodtrucks. Ce qui nous a permis de nous réunir dans une atmosphère vraiment sympa. Ce sont toutes ces petites attentions qui, pour moi, sont utiles au bien-être en entreprise ».
Qu’est-ce qui le pousse à rester chez Engie ? « Ma passion pour le nucléaire. La cohésion d’équipe aussi, le cadre et mes collègues », conclut-il.
Devenez le nouveau collègue de Matthias. Pour prolonger la durée de vie de nos centrales nucléaires ou pour les démanteler, nous recherchons des nouveaux talents.
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